Dans ma série d’articles concernant les syndromes de « l’hystérie Covid », le précédent traitait du « biais de conformité et la pression sociale ». Aujourd’hui, je vais aborder le syndrome du « sentiment de toute puissance sur la nature ».
Si on regarde les chiffres bruts, l’âge médian de personnes décédées du Covid est de 84 ans. Ceci est à mettre en comparaison avec l’espérance de vie qui est actuellement de 82,9 ans en France.
Je me pose une question simple, c’est quoi mourir de vieillesse si ce n’est que de succomber dans la majorité des cas à différentes sortes de maladies. Cela est dû à un corps usé et fatigué qui ne peut plus se défendre. Aussi horrible que cela puisse paraître, nous allons tous mourir un jour. Nous sommes tous des morts en sursis. A quel prix est-ce acceptable de vouloir défier les lois de la nature? Est-ce raisonnable de sacrifier une partie du futur de nos enfants pour nous permettre de grappiller quelques mois de plus alors qu’on est déjà en extra time. À partir de combien de dépressions, qui vont engendrer au passage bien d’autres maladies ,voir des suicides, chez nos restaurateurs, nos indépendants et autres catégories de la population, qui ne sont pas sous la protection du sacro-saint CDI ou dans la fonction publique. Accepterons-nous de prendre du recul par rapport à cette épidémie, en évaluant sérieusement le bénéfice/risque des décisions coercitives qui sont prises. Un très bel article résume et complète ma façon de penser sur ce point-là :

C’est bien en ces termes qu’il faut résumer combien d’années de vies prolongées et combien de temps face à combien de vies gâchées, jusqu’à la fin de leurs jours pour certains, vie qu’ils décideront peut-être d’écourter eux-mêmes au final. Jusqu’à quel niveau de misère et de souffrance la vie vaut-elle d’être vécue ? Vaut-il mieux une société qui nous permette de vivre le plus longtemps possible au détriment du mieux vivre, qu’une société qui nous permette de vivre le mieux possible en renonçant à nous maintenir en survie, dans la souffrance physique et psychique avec une fin de vie certes plus longue mais dans quelles conditions ? Comme tout le monde, j’espère bien repousser l’échéance de ma propre mort le plus loin possible, mais pas à n’importe quel prix. La repousser dans des conditions de vie acceptables et descentes, oui, mais la finir totalement dépendant avec de multiples pathologies et parqué dans un mouroir, non merci.
De mon point de vue, une société saine et responsable est une société qui nous permet de vivre le plus longtemps possible en bonne santé physique et mentale. On ne peut pas se prévaloir de vouloir privilégier la vie sur l’économie en sacrifiant le futur de nos enfants et en même temps permettre de continuer les déversements de glyphosates à gogo, de permettre à l’industrie agroalimentaire de nous rendre malades, en surpoids, diabétiques à coup d’excès de sucre, de glucides et de nitrites en tous genres dans nos aliments.
Attachons-nous plutôt à transformer notre économie pour privilégier le bénéfice à long terme avec la bonne hygiène alimentaire qui protègera la population contre les conséquences graves de ce genre de virus, plutôt que le bénéfice à court terme avec de plus en plus de diabétiques et de gens en surpoids qui sont les premiers morts du Covid dans la petite proportion des victimes de moins de 75 ans.
Voici un court extrait d’un de mes modules de formation où je vous parle du dérèglement métabolique qui a justement un impact énorme sur notre santé en général et sur notre système immunitaire en conséquence.

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